Etre soi, juste soi

Etre soi, juste soi

Être soi, juste soi, ce devrait être si facile. Et pourtant…

Nous avons tous 1 000 visages différents. Celui que l’on montre à sa famille, celui que l’on montre à ses amis, celui que l’on montre à son travail, celui que l’on montre en société. Que l’on peut encore partager entre le visage pour sa compagne, son compagnon, ses enfants, ses parents, sa belle-famille, ses collègues, son chef, ses clients, ses amis hommes, ses amis femmes, etc, etc, etc…
Pourquoi ?
Pour plaire. Pour être accepté, reconnu, aimé.
Être aimé est vital pour le bébé totalement dépendant. Être accepté dans un groupe est vital pour l’enfant devenu grand, même pour l’adulte. Alors on s’adapte, on se contorsionne, on fait semblant. Tellement semblant qu’on en devient un autre, des autres, selon la personne en face de soi.
Et pourtant… (suite…)

L’art de la tristesse en 7 étapes (pour mieux retrouver la joie)

L’art de la tristesse en 7 étapes (pour mieux retrouver la joie)

Un article sur la tristesse ? Un lundi en plus ? Bof, c’est pas très tentant. T’as pas un truc plus réjouissant ?
Mais pourquoi c’est pas très tentant ? Parce que c’est pas top d’être triste ? Parce que c’est quelque chose que tu évites par-dessus tout ? Parce que ça ne se fait pas d’être triste – et encore moins de le montrer ?
Ok mais, franchement, ça ne t’arrive jamais de ressentir de la tristesse ?
Moi, si.
De moins en moins souvent. Et de moins en moins longtemps. Depuis que je n’y résiste plus. Depuis que je la vis. Pleinement.
Pour pouvoir aussi ressentir de la joie. Pleinement.
C’est tout un art… En 7 étapes.
Je t’explique tout ! Lis la suite. (suite…)

Quand ton désir essentiel se fait la malle…

Quand ton désir essentiel se fait la malle…

On a tous connu des périodes dans notre vie où « ce n’est pas vraiment ça », des périodes où tout va bien – ou presque – sur le papier mais où, dans la vraie vie, il manque un « quelque chose ». On peut bien pointer un doigt accusateur sur un ou deux truc(s) – le boulot, la routine, le manque de temps, les enfants, le mari ou la femme ou l’absence de conjoint, le mauvais temps, etc…  – mais au fond de soi, on sent bien que ce n’est pas QUE ça, même si on ne sait pas vraiment ce que c’est.

En fait, cela arrive quand le désir essentiel se fait la malle... (suite…)

Comment stopper net une émotion désagréable

Comment stopper net une émotion désagréable

Sais-tu que nous avons tous été livrés à la naissance avec l’outil parfait pour stopper nos émotions désagréables ? Avec même un déclencheur automatique ? Et que nous ne nous en servons pas. Enfin plus.

Pire : sais-tu qu’en essayant d’améliorer le système (qui était parfait au départ), nous avons quasiment tous branché le déclencheur automatique sur un autre canal qui intensifie automatiquement l’émotion dont nous voulons nous débarrasser ?

Quand j’ai appris ça il y a 2 ans, j’ai été scotchée.

Et quand j’ai rebranché le déclencheur automatique sur le canal d’origine, j’ai été bluffée.

Va chercher ta caisse à outils, je te donne le mode d’emploi dans la suite de l’article ! (suite…)

Nous, toi, moi… et eux

Nous, toi, moi… et eux

Nous aspirons tous au bonheur.
Tous, sans exception.
Toi. Moi. Même eux.

Mais, parce que nous souffrons,
plus ou moins intensément,
d’une manière ou d’une autre, pour une raison ou une autre,
nous avons parfois – souvent – des pensées, des paroles, des actes
qui font notre propre mal
et du mal aux autres.
Même toi, même moi, même eux.

Ces pensées, ces paroles, ces actes, sont les réponses que nous trouvons à notre quête du bonheur.
A partir de toutes les émotions qui nous traversent.
Même si ce ne sont pas toujours les bonnes réponses.

Nous aspirons tous au bonheur.
Toi. Moi. Même eux.
Même ceux qui semblent chercher la haine cherchent la haine pour leur propre idée du bonheur.
Pour trouver leur salut, le repos, la paix, le bonheur.

Nous aspirons tous au bonheur.
Tous, sans exception.
Nous y répondons du mieux que nous le pouvons,
avec toutes nos émotions, avec toute notre souffrance,
par des pensées, des paroles, des actes,
qui font parfois – souvent – notre propre mal
et du mal aux autres.
Même toi, même moi, même eux.

Regarde ceux que tu aimes avec ce regard la prochaine fois.
Vois qu’ils aspirent au bonheur. Comme toi.
Et que, comme toi, ils souffrent aussi.
Et que, s’ils font quelque chose que tu désapprouves, s’ils disent quelque chose qui te fait mal,
c’est parce qu’ils souffrent
et qu’ils aspirent au bonheur.
Comme toi, comme moi, comme eux.

Regarde toi avec ce regard la prochaine fois que tu critiqueras.
Vois que si tu as fait ça, si tu as dit ça,
c’est parce que tu souffres
et que tu aspires au bonheur.
Comme moi, comme eux.

Regarde ceux que tu côtoies avec ce regard. Ta famille, tes amis, tes collègues, tes voisins, la caissière de la boutique du coin.
Regarde ceux que tu ne côtoies pas avec ce regard. Les gens que tu croises dans la rue, ceux dont on parle aux infos, les stars, les hommes politiques.
Regarde eux, ceux que tu n’aimes pas, ceux qui te hérissent le poil, ceux qui te mettent en colère, ceux que tu rejettes. Avec ce même regard.

Eux aussi aspirent au bonheur.
Eux aussi souffrent.
Et agissent ainsi, parce qu’ils souffrent et aspirent au bonheur.
Comme toi, comme moi.
Même si toi, même si moi, nous avons trouvé une autre façon d’agir.
Une autre façon de répondre à notre souffrance, et d’aller vers le bonheur.

Regarde chacun avec ce regard.
Parce que chacun de ces regards est un pas vers ton bonheur, et le bonheur de l’autre.
Chacun de ces regards est un pas vers ta paix intérieure, et celle de l’autre.
Chacun de tes regards est un pas vers la paix du monde.

Je nous aime. Toi, moi, eux…

Christine

Ma vie dans une valise (taille cabine)

Ma vie dans une valise (taille cabine)

Quand j’ai quitté la France pour m’installer dans la petite oasis de Douz, au pied de l’immense Sahara, j’ai quitté aussi une grande partie de ce qui constituait ma vie : l’appartement que je louais – et ce qu’il y avait dedans -, mon travail d’enseignante, ma famille, mes amis, mes activités, mes habitudes, ma culture.

C’était un choix, un véritable coup de foudre même, pour le désert et la vie simple des nomades récemment sédentarisés de cette petite ville loin de tout. Une envie – un besoin ? – de retour à l’essentiel. C’était là que je voulais vivre ! (suite…)

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